Le zéphyr emporte avec lui le chant brut du cyclone
En son centre invisible.
Vent libre. Marées vagues.
Remous.
L'incessante pluie caresse l'enveloppe d'un fruit,
Et les sensations vibrent,
au sein même du Vivant.
L'arbre du relatif plonge dans l'absolu.
Où poussent les chimères,
à tout jamais perdues.
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